J'ai peut être de l'inspiration, je sais pas. Je verrai ça au fil du clavier, de mes pensées, je contrôle plus. C'est tellement bien de se laisser porter, bercer, de vivre sa vie en spectateur, de rêver tout le temps, rêver à un pluriel qui peut être ne sera jamais, mais on s'en tape, franchement. Ce qui compte c'est de rêver, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, ne jamais s'arrêter de rêver. C'est tout ce que je demande, c'est pas si compliqué quand même?

Alors ces vacances... Des petits bouts de rêve, des petits bouts de joie, éparpillés, partis partout, qui volent et qui m'éclatent. Tout m'éclate en ce moment. Parce que je suis heureuse, simplement. C'est fou la joie quand même, non? Ca fait faire des conneries, dire des conneries, penser à tellement de conneries qu'on aimerait ne jamais s'arrêter, juste pour le plaisir d'être en contact avec des conneries (; On doit être sérieux toute l'année, le bac et tout, alors là ça fait deux mois pour se lâcher et s'éclater en force. Surtout que l'été prochain, ce sera le début de notre nouvelle vie [ enfin si tout se passe bien ]. J'ai hâte, mais peur. Oh et puis après tout, pourquoi anticiper si tôt?

Merci à tous. (: De suivre mes conneries, mes délires, mes autres conneries et surtout ma folie chronique, hein. J'le fais pas exprès, mais vous pouvez pas vous empêcher de m'aimer hein? Normal, j'me fais aussi cet effet là (;

C'est fou, j'suis heureuse.
Même si c'était trop tard, merci de m'avoir permis d'y croire, un peu.
C'est déjà tellement...

Plus jamais. Plus jamais je ne rêverai. Rêver, c'est tomber. Plus t'es heureux, plus dûre est la chute. Si j'arrête de rêver, p'têt que j'aurai plus mal? Alors ma décision est prise. Dreams mean fall, so I'll stop dreamin'. De toute façon, ça n'a aucun interêt. Tu t'es déjà réveillé(e) en hurlant? En pleurant? Moi oui, et pas qu'une fois. Maintenant, je dis STOP. De toute façon, ça doit pas être si dur que ça de canaliser son subconscient, si? Merde. Tant pis, j'y arriverai, coute que coute.

Bientôt la fin. Plus que quelque jours et le suspens laissera place à un verdict sans appel. Les chiffres m'ont toujours rassurée mais là, ils me font peur, si peur... Je veux pas rater, foutre ma vie en l'air et la regarder voler avec les étoiles, sans rien contrôler. Je veux pouvoir dire "j'ai réussi" sans avoir à mentir. Je veux pouvoir montrer que je suis quelqu'un. Bonjour, je m'appelle Juliette, j'ai 17 ans en Septembre. J'ai un prénom, un nom une identité. Mais j'ai aussi l'impression que cette identité ne sera vraiment mienne qu'à l'arrivée de ces chiffres, pourtant si peu, mais tellement importants... Leur interêt est moindre, mais leur importance croît. Parce qu'aujourd'hui il faut tout réussir, et qu'il y a des gens qui réussissent tout, tellement que ça en devient normal. Toi, à côté, dans la moyenne, t'en parrais médiocre. Etre ou paraître, là est la question, LA question. L'être n'est plus quand le paraître prend tout, et nous ne vivons plus que d'apparences. Alors pour une fois, concrètement, j'aimerai. J'aimerai y arriver. Viser la lune, le soleil, les étoiles... et MARS. Et un jour on me reconnaitra à ma vraie valeur. Quand je serai moi.

Encore une fois j'écris comme ça vient. Je ne me relis pas, ça n'a peut-être aucun sens, mais c'est pas grave. Ce qui compte, c'est que. Que, simplement.

Demain. Dans quelques heures. Mais j'ai pas peur. J'suis juste dans l'expectative. Après tout, on s'en fout, et c'est bien le problème. Tout le monde l'a, leur bac à la con. Et sinon, on s'en fout, de toute façon, le français c'est que coeff' 4. J'fais partie de la génération Y. Jeune, et déjà désabusé. Franchement à 17 ans t'as tout vu, tout entendu, tout expérimenté. T'es blasé, et c'est tout. Personnellement, je pense pas encore l'être, mais t'en as de plus en plus qui le sont. Plus d'avenir, ou un avenir trop haut pour leur p'tit cerveau.

Alors riez, merde. Espérer, rêver, c'est tout ce qu'il nous reste, autant en profiter à fond. Le cynisme, ça détend mais qu'est-ce qu'on serait si on n'avait que ça? A un moment, 'faut arrêter. La vie n'a pas de sens, alors à toi de lui en donner. Vis, p'tit con. T'as plus que ça à faire. J'arrive pas à savoir si j'suis énervée, ou déprimée, ou heureuse. P'têt les trois, en même temps. Tout dans la contradiction. 'faut pas chercher de sens, j'ai pas la tête à m'en donner. En direct d'un conte de fée, je joue la sorcière. Vilaine, moche mais pas FADE, elle, au moins. La princesse? Rien à foutre, elle est conne, blonde [ quoi moi aussi? ] et stupiiiiiiiiiiiiiiiide, franchement.

Cet article a aucun sens, y'a rien à comprendre. J'suis en vrac, soyons en vrac together.

Un jour quelqu'un a dit : Je t'aime.
Et ça, j'ai envie d'y croire.


 

Plus de commentaires, depuis un moment. Plus d'articles non plus d'ailleurs. Mais j'arrive pas à savoir si ça me dérange ou pas. Cette vie, j'l'ai choisie. D'après Sartre, on est responsable de ses choix. Tout est donc de ma faute.. Mais on n'est pas responsable de son caractère. Et le mien est à revoir. J'ai beau le savoir, j'arrive pas à le changer. Réfléchis à ce que tu dis, Juliette. Tourne ta langue sept fois dans ta bouche Juliette. Mais je sais pas, il doit me manquer le gène adapté. Toujours à me plaindre, alors que j'ai pas de raisons de le faire. J'les gave, j'le sais. Mais j'arrive pas à m'en empêcher. J'm'enfonce dans leur mépris consciemment, sans pouvoir empêcher la chute, toujours plus brutale. Je snobe les gens de peur qu'ils me snobent. J'essaie de faire en sorte de pas être rejetée et me rejette toute seule. Baisse les épaules Juliette, tu paraîtras plus ouverte. Je veux changer, je vais changer. Ceux qui me connaissent par intermédiaires peuvent pas s'en douter, je suis une peste. Horrible. Et je me complais, impuissante, dans mon autodestruction.

Ne pouvans rien y faire, je vais accelerer le processus. Jusqu'à ce que je tombe. Au revoir Juliette, j'te l'avais dit.

Je n'ai pas plus fait mon livre que mon livre m'a fait. Montaigne, Essais.
Voici mon livre, j'espère qu'il pourra m'apporter ce que le sien lui a apporté. Mais en attendant, la recherche n'est pas concluante..

Franchement, où est l'interêt?
L'interêt de quoi? Excellente question. De ma vie, de la raconter, vu que de base elle n'a aucun interêt...
Changement de thème, juste pour montrer que j'suis pas qu'une espèce d'hystéro-pétasse à tendances nympho... Je précise "pas que" parce qu'on l'est toute un peu quand même hein...

Looking for a story, looking for a life...

En train d'missiler mes relations, d'flinguer ma vie, d'foutre à la benne tous les sentiments qu'y avait en trop. Amoureuse? Moi? Jamais. Aucun interêt. J'veux pas souffrir, j'veux faire souffrir, niark niark. Quand on a trop souffert, on devient sadique, c'est le risque. Mais tant pis. Ju' la sadique, ça sonne bien, non? Pour en revenir à cette histoire d'amour [ waow le jeu de mot, même pas fait exprès ]... Tout le monde rêve mariage, s'enfermer dans une p'tite vie à deux répétitive où passion et amour disparraissent pour laisser place au laisser-aller... Aucun interêt j'vous dis...

Pfffft, aucun interêt...

But we are always together... Qui dit plus d'amour dit plus de larmes au son de chansons qui font vibrer... Tant pis. On ne tombe pas dans le mélo. Point.

"Accidentally In Love"

So she said what's the problem baby
What's the problem I don't know
Well maybe I'm in love (love)
Think about it every time
I think about it
Can't stop thinking 'bout it
 
How much longer will it take to cure this
Just to cure it cause I can't ignore it if it's love (love)
Makes me wanna turn around and face me but I don't know nothing 'bout love
 
Come on, come on
Turn a little faster
Come on, come on
The world will follow after
Come on, come on
Cause everybody's after love
 
So I said I'm a snowball running
Running down into the spring that's coming all this love
Melting under blue skies
Belting out sunlight
Shimmering love
 
Well baby I surrender
To the strawberry ice cream
Never ever end of all this love
Well I didn't mean to do it
But there's no escaping your love
 
These lines of lightning
Mean we're never alone,
Never alone, no, no
 
Come on, Come on
Move a little closer
Come on, Come on
I want to hear you whisper
Come on, Come on
Settle down inside my love
 
Come on, come on
Jump a little higher
Come on, come on
If you feel a little lighter
Come on, come on
We were once
Upon a time in love
 
We're accidentally in love
Accidentally in love [x7]
 
Accidentally
 
I'm In Love, I'm in Love,
I'm in Love, I'm in Love,
I'm in Love, I'm in Love,
Accidentally [x2]
 
Come on, come on
Spin a little tighter
Come on, come on
And the world's a little brighter
Come on, come on
Just get yourself inside her
 
Love ...I'm in love

[ Happy Everafter in Your Eyes... ]
Ben Harper.

[ Avertissement : ceci n'est en rien une critique ou un lot d'insultes, vous remarquerez que la pétasse attitude est positive et conseillée! ]

I. Les deux règles de base.

Règle 1 : La pétasse EST. Elle n'existe pas, elle ne vit pas, elle ne paraît pas, elle EST, point. Concrètement, une pétasse est indéfinissable, ce qui entraîne une absence d'adjectifs qualificatifs après le verbe d'état.

Règle 2 : La pétasse est égocentrique, voire nombrilocentriste. Son égo est d'ailleurs tellement énorme qu'elle peut très facilement l'ériger en montagne et se percher dessus pour dominer le monde, SON monde. La pétasse est d'ailleurs bien aidée par la langue française. En effet, quel est le premier pronom personnel de la liste? "je"! La pétasse parle donc d'elle à la première personne au propre comme au figuré.